Exploração de recursos energéticos não renováveis e constituição: breve leitura a partir da cultura política brasileira e a política Pachamama
DOI:
https://doi.org/10.24859/RID.2023v21n2.1452Palabras clave:
Pensée politique, Droit économique du pétrole, État, Souveraineté, Violence, Droits humains environnementauxResumen
Ce travail vise à lier les théories de la pensée politique centrée et périphérique afin de comprendre les caractéristiques exploratoires des ressources énergétiques non renouvelables au Brésil. Le texte propose également une lecture de la relation homme-nature, la Pachamama par l'idéal du Buen Vivir en Équateur, en ce qui concerne l'exploitation de ses réserves de combustibles fossiles. Des questions surgissent telles que : le Brésil, considéré comme un pays périphérique, mais qui, en théorie, suit les modèles et les normes de protection de l'environnement des pays centraux en ratifiant de nombreux traités internationaux, possède-t-il une pensée politique propre de préservation de l'environnement? La pertinence de ce sujet, basée sur l'étude approfondie des "nouveaux droits" et des nouveaux valeurs fondamentales humaines, réside dans la nécessité de construire une théorie et une critique de l'exploitation des ressources naturelles non renouvelables et d'un grand intérêt dans la sphère internationale - en l'occurrence, le pétrole - en raison de la volatilité et de la fragilité des biens juridiques protégés dans l'ordre constitutionnel. Sur le plan social, politique et économique, il est compréhensible que ce texte se justifie en critiquant l'exploration des ressources naturelles non renouvelables et les intérêts du capital, ainsi que la recherche à tout prix d'un accès privilégié aux ressources énergétiques fossiles au détriment de l'équilibre écologique et de la qualité de vie saine. Les méthodes juridiques exploratoires et juridiques comparatives ont été utilisées à partir d'une approche déductive-analytique. Face à l'utilisation des ressources énergétiques fossiles (pétrole, gaz naturel et charbon) comme source d'énergie primaire, on constate qu'à première vue, la préservation de l'environnement ne semble pas être une priorité pour le Brésil.